jeudi 5 mars 2009

JE PLEURE !

'tain ! J'en ait assez de l'impolitesse des gens,
de leur bêtise ! cela fait plusieurs fois que
je croise de pauvre c...ards qui n'ont que des
hé bâtard, hé, f.. de p.. ! moi j'vai t'marave,
à la bouche ! ont ils compris ces crétins que
je ne suis pas responsable de leur malheur ?
Y a t'il un pays ou les gens peuvent vivre
heureux ? et ne plus etre un moyen ouvrant
a la puissance d'autrui ?
Quand naitra donc cette epoque
bénie que l'on nous a tellement promis !
Cette époque ou l'homme sera mesure de toute choses !
Ou son droit au bonheur redeviendra imprescriptible !
Je pleure, et je suis bien con, je le sais !
Mais je pleure sur le cadavre de ma république bien aimée !
Celle en qui je croyais et qui nous as tous trahis !
Y compris ces jeunes cons qui disent hé Bâtard,
a des gens qu'ils ne connaissent pas !
Rejoignez les Humanistes associés, dont le seul but et
de donner au genre humain, le droit au bonheur, quelle que soit leur
fortune, leur savoir, leurs croyances !
Oui, nous pouvons tous changer le monde !
et faire de cette planete le jardin d'Eden promis,
n'en doutez pas ! c'st a notre portée !
Ne nous laissons pas faire !
Et vive le genre humain !
Bouhouhou , snif !

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Alain Bashung - Résidents de la République

2 commentaires:

Anonyme a dit…

J´aime les gens,....quant à la démocratie, hum, hum et les jeunes à la j´te marave la bouche, j´en parle même pas car je vais sûrement choquer. Ils peuvent se dire qu´ils ont de la chance de vivre dans un pays "encore" à peu près démocratique où les femmes ont des droits. J´aime l´humanité, mais pas tous les humains (trop de temps que j´essaie de comprendre les cas désespérés!!!).

David a dit…

C'est surtou sarcastique, je n'ai pas envie de m'essayer a la politique, (quoi que des Humanistes au pouvoir, ça s'rait marrant d'essayer) ! C'est que ce genre de rencontres auguemente, et meme si une telle betise me met hors de moi, quelque part, je vois bien d'ou vient toute cette rage, même si comme toi, j'ai renoncé depuis longtemps a comprendre les cas sans remede.