jeudi 25 novembre 2010

Otez les etiquettes#2

En Gaule, tout finit par des chansons, c'est bien connu !
En voici une très belle, qui devrait etre traduite dans
toutes les langues : Né un 17, a Leidenstat ! de J.J Goldmann
Moi, Je suis né un 17, a Arras !

Et si j'étais né en 17 à Leidenstadt
Sur les ruines d'un champ de bataille
Aurais-je été meilleur ou pire que ces gens
Si j'avais été allemand ?

Bercé d'humiliation, de haine et d'ignorance
Nourri de rêves de revanche
Aurais-je été de ces improbables consciences
Larmes au milieu d'un torrent

Si j'avais grandi dans les docklands de Belfast
Soldat d'une foi, d'une caste
Aurais-je eu la force envers et contre les miens
De trahir: tendre une main

Si j'étais née blanche et riche à Johannesburg
Entre le pouvoir et la peur
Aurais-je entendu ces cris portés par le vent
Rien ne sera comme avant

On saura jamais c'qu'on a vraiment dans nos ventres
Caché derrière nos apparences
L'âme d'un brave ou d'un complice ou d'un bourreau?
Ou le pire ou plus beau ?
Serions-nous de ceux qui résistent ou bien les moutons d'un troupeau
S'il fallait plus que des mots ?

Et si j'étais né en 17 à Leidenstadt
Sur les ruines d'un champ de bataille
Aurais-je été meilleur ou pire que ces gens
Si j'avais été allemand ?

Et qu'on nous épargne à toi et moi si possible très longtemps
D'avoir à choisir un camp 


vidéo dispo ici

et puis aussi

LAISSEZ NOUS CHANTER - Gold

D'accord pour les cris d'angoisse
Qui vous ont fait pleurer
Contre la mort qui menace
Nous sommes à vos cotés
Mais n'allez pas jeter la pierre
Si vous croyez que certains
Vous ont offensés
Car ceux qui dénoncent vos guerres
Sont ceux qui tombent les premiers.

CHORUS :
Laissez-nous chanter
Le peu d'amour qui nous qui nous reste
Sous vos ailes d'acier.
Oh laissez-nous chanter
Laissez-nous rêver
Et s'il nous faut faire un geste
C'est à nous de décider
Mais laissez-nous chanter

Le temps venu solidaire
Nous serons des milliers
Au pied des mats solitaires
De vos bannières étoilés
Mais devant les champs de vos ruines
Il faudra bien dire un jour
Où est la vérité
Entre vos orgues de Staline
Et nos guitares en liberté.


CHORUS

Vous aurez le choix des armes
Et des mots déchirés
Aussi longtemps que vos armes
Continueront de parler
Mais n'allez pas jeter la pierre
Si vous croyez que certains
Vous ont offensés
Car ceux qui chantent nos prières
Sont ceux qui donnent les premiers



Clip Ici, soyez Humains, mes Soeurs et Freres,
mes Amis et Amours ! C'est la le vrai chemin ! 
Love for all af you, whoever you are, i love you, 
i don't want to lose you !




 

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